L'occasion une nouvelle fois de mesurer combien les écoles jouent un rôle capital dans notre commune.
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Il est du devoir de chacun de contribuer à ce que les effectifs soient suffisants et qu'aucune fausse note ne freine l'arrivée des élèves.
La place de Monsempron comme la route entre la voie ferrée et le cimetière sont en plein chantier.
Les vacances les ont d'ailleurs arrêtés fort longtemps. Cela rend le stationnement difficile et la circulation parfois hasardeuse. N'était-il pas possible de mieux programmer les travaux ?
Surtout que la circulation dans Monsempron reste laborieuse et bruyante avec les gravillons, elle est même fermée dans la journée dans sa partie près de la place de la mairie pour cause de réfection d'une toiture. .
Serge Fresquet, président du CODELIAPP et habitant de la commune, nous offre un livre solide et bien documenté sur le chemin de fer en Fumélois.
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Il évoque l'importance de la voie ferrée et termine en interrogeant chacun sur les choix à faire en faveur des lignes locales. Le passé peut interroger le présent.
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Ce livre est sorti en début de ce mois et est disponible en librairie, en particulier à celle de Mme et M. Biron, place centrale à Libos.
La situation économique du Fumélois est déjà très difficile. Elle pourrait s'aggraver à la rentrée par des licenciements aux parquets Marty, à Métaltemple et la Briqueterie de Libos, sans oublier malheureusement la fermeture annoncée de l'usine Socli à Sauveterre.
Ne serait-il pas temps d'organiser des assises du développement du Fumélois qui permettraient à toutes les forces volontaires d'envisager sans tabou comment et sur quoi mobiliser nos énergies pour éviter de sombrer complètement dans la déprime ? Ne faut-il pas s'appuyer sur le numérique, le tourisme et le patrimoine, le commerce et l'artisanat de proximité, la transition énergétique et la valorisation des déchets, la recherche et le développement pour les activités traditionnelles ? Ne faut-il pas aussi faire un bilan des outils de développement déjà existant ?
Voilà ce que nous disons dès le mardi 20 août. Voyez ce qu'en dit La Dépêche du 4 septembre en cliquant ici.
Un bon nombre d'habitants de la commune et même du Fumélois ont profité d'une bien agréable soirée au Foulon. Le cadre du Foulon est propice aux fêtes, plus aéré que les, trop habituels désormais, repas gourmands et l'espace a été judicieusement partagé. Un temps idéal, une ambiance musette sympa, une démonstration de la nouvelle association de Zumba, un film en plein air, un dévouement très important des organisateurs, tout ce qu'il faut pour la réussite d'une telle manifestation.
Le même jour, c'était aussi l'anniversaire des 150 ans la ligne Agen - Périgueux, pourquoi ne pas avoir lié les deux événements ?
Unautre regret. Le même soir à Bonaguil on jouait Ensemble et séparément de Françoise Dorin avec Jean Piat et Marthe Villalonga. A quand une vraie coordination des animations sur la Communauté et un étalement qui évite de trop charger le coeur de l'été ?
Pourquoi trop souvent séparément et pas assez ensemble ?
Certainement pas dans la piscine publique du Fumélois !
La piscine de Fumel qui est désormais communautaire est à l'abandon. Les travaux ont commencé en mai 2011. Elle devait être ouverte pour l'été 2012. L'entreprise de gros oeuvre avait pris du retard. Celle-ci dit que le dossier technique initial était mal ficelé et qu'elle a dû refaire des études préalables et procéder à des travaux complémentaires. La communauté n'a pas voulu les payer. L'entreprise a été mise en difficulté et le marché a été cassé. Une nouvelle entreprise a été désignée pour que les travaux reprennent en mars 2013. La première entreprise a déposé le dossier au tribunal. Mais une succession d'expertises bloque toute reprise. Jusqu'à quand sera-t-il impossible de se baigner ? De plus, les aspects financiers vont peser lourdement sur les finances déjà fragilisées de Fumel communauté : surcoûts liés aux dégradations, indemnités aux autres entreprises pour les retards, provisions pour une éventuelle indemnisation du préjudice envers la première entreprise. N'aurait-il été plus sage et plus efficace de négocier avec la première entreprise de gros oeuvre pour se baigner cet été ?
Pierre Perret a donné une interview à la Dépêche en évoquant sa chanson "Les jolies colonies de vacances". Il regrette leur disparition. Elles jouaient un rôle important : lien entre les classes sociales et sortie des quartiers pour de nombreux jeunes. De moins en moins de jeunes ont l'occasion de partir. Il dénonce "on gaspille du pognon pour des trucs inutiles : des lampadaires, des parkings…"