Le blog de Monsempron-Libos solidarités

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Jeudi 1er mai, à 10 h 30

Manifestation pour la Fête du travail et de soutien à Métaltemple

Daniel Borie, conseiller général, et Marie-Françoise Béguin, conseillère régionale, seront présents.

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Lundi 5 mai, à partir de 10 h

Débrayage et manifestation pendant l'audience au tribunal de commerce de Chambéry

La manifestation « L’Europe au cinéma » organisée en partenariat avec la maison de l’Europe et Ecrans 47 débute ce jeudi 24 avril à 21h00 au Liberty

avec l’avant première du film de Georg Maas « D’une vie à l’autre ».

L’intervention prévue (sous réserve) n’aura pas lieue. Néanmoins, le film sera introduit en salle et nous évoquerons les autres films du cycle, à savoir « La femme du ferrailleur »

de Danis Tanovic et « Eastern boys » de Robin Campillo qui seront diffusés mardi 29 avril dans la cadre d’un double programme, les films peuvent être vus séparement par ailleurs.

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D’UNE VIE A L’AUTRE (1h35) jeudi 24 avril à 21 h.

Europe 1990, le mur de Berlin est tombé.
Katrine a grandi en Allemagne de l’Est, et vit en Norvège depuis 20 ans. Elle est le fruit d’une relation entre une norvégienne et un soldat allemand pendant la Seconde Guerre Mondiale. A sa naissance, elle a été placée dans un orphelinat réservé aux enfants aryens. Elle parvient à s’échapper de la RDA des années plus tard pour rejoindre sa mère. Mais, quand un avocat lui demande de témoigner dans un procès contre l’Etat norvégien au nom de ces «enfants de la honte», curieusement, elle refuse.
Progressivement de lourds secrets refont surface, dévoilant le rôle de la STASI, les services secrets de la RDA, dans le destin de ces enfants. Pour elle et ses proches, quel est le plus important ? la vie qu’ils ont construite ensemble, ou le mensonge sur lequel elle repose ?…

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LA FEMME DU FERRAILLEUR (1h20) mardi 29 à 18 h 45.

Nazif est ferrailleur. Il vit en Bosnie avec sa femme, Senada, et leurs 2 filles. Un jour, Senada se plaint de terribles maux de ventre et doit se faire hospitaliser d’urgence. Mais faute de couverture sociale, le couple doit payer l'opération : une somme considérable qu'ils n'ont pas. Pendant 10 jours, Nazif fait tout pour sauver la vie de Senada en cherchant de l'aide auprès des institutions et en tentant de trouver toujours plus de fer à vendre.

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EASTERN BOYS (2h05) mardi 29 à 21 h.

Avertissement : des scènes, des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs
Daniel aborde Marek dans une gare parisienne où ce dernier traine avec sa bande. Il lui propose de le retrouver chez lui le jour suivant. Mais lorsque Daniel ouvre la porte de son appartement le lendemain, il est loin d’imaginer le piège dans lequel il s’apprête à tomber et qui va bouleverser sa vie.

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Site liberty: http://www.cine-liberty.fr

La presse s'est faite l'écho des projets de fermeture et d'ouverture de classes dans le département. Monsempron-Libos pourrait perdre une classe en primaire, à Monsempron.

La pression pourra-t-elle faire reculer le Rectorat ?

L'article de La Dépêche est ici, celui de Sud-Ouest ici.

Un article dans Sud-Ouest (cliquez ici) présente comme des querelles de personnes et une lutte de groupes, l'élection à la présidence de la communauté de communes.

On peut comprendre qu'il y ait des choix en fonction d'affinités personnelles mais ils ne peuvent se faire que dans le cadre d'un projet pour la collectivité !

Rien ne discrédite plus la politique que les oppositions de personnes. Faut-il attendre un signe de quelqu'un ou un projet ? Faut-il à tout prix participer à l'exécutif ou annoncer clairement ce que l'on veut ?

De quelle type de communauté de communes le Fumélois a-t-il besoin pour faire face à la très grave crise qu'il traverse depuis maintenant si longtemps ? Ne faut-il pas élaborer un projet qui s'appuie résolument sur une analyse des faiblesses mais aussi des forces du territoire, sur la lutte pour maintenir les activités traditionnelles et sur la préparation des activités nouvelles ? Un projet qui mobilise l'ensemble des acteurs pour casser l'esprit de fatalisme et même de résignation ? Un projet qui décrive les moyens pour avancer ?

Quelle est l'exacte situation financière de la communauté, n'a-t-il pas été procédé depuis deux ans à des coupes sans réflexion stratégique ? On n'ose pas réexaminer les compensations financières entre communes parce qu'il n'y a pas une volonté de redonner une dynamique partagée pour éviter que chaque commune meurt l'une après l'autre. Il est nécessaire de remettre à plat et en cohérence les transferts qui se sont fait progressivement. Le PLUI (Plan Local d'Urbanisme Intercommunal) aurait été retardé pour ne pas faire peser plus de contrainte sur la construction mais n'est-il pas plus urgent de savoir comment faire évoluer territoire, quels équilibres veut-on créer pour que l'activité puisse s'y développer ? Quels outils mettre en place pour le réaliser ?

Sans parler de la rupture avec une gestion à la petite semaine, voire en fonction d'intérêts personnels ...

Il faut aussi dire que les orientations actuelles de la communauté ne permettent pas tout cela et qu'il faut proposer une alternative.

Bref, où y-a-t-il la présentation d'une ambition et des moyens d'avoir une communauté de communes qui essaie de tirer le Fumélois de sa situation de plus en plus catastrophique ?

Serge FRESQUET garde en souvenir, depuis sa plus jeune enfance, les commémorations du 11 novembre à Fumel.

Il se souvient des enfants des écoles rassemblés devant le monument aux morts situé place Aristide Briand pour cette journée de recueillement, des anciens combattants avec les drapeaux des régiments, de la sonnerie aux morts qui retentissait dans le silence de la population, et qui glaçait le sang.

Il se remémore ses déambulations dans les rues de Fumel pour proposer moyennant une obole, le traditionnel bleuet que l’on fixait à la boutonnière.

Enfant il était impressionné quand il entrait dans de nombreuses demeures de découvrir des souvenirs de guerre qui reposaient sur le dessus des cheminées : douilles d’obus de 75, cartouches… que les ménagères conservaient dans un état de brillance parfaite comme les cuivres de la maison.

Aujourd’hui, par un travail minutieux de recherche il retrace la vie des soldats dont le nom est gravé dans le marbre des monuments aux morts de Fumel, Condat, Monsempron-Libos, Montayral, Saint-Vite. Il nous fait partager leur quotidien, leurs souffrances, leurs angoisses. Les courriers que les familles lui ont confiés en témoignent.

Cent ans après, découvrez la vie des poilus Auguste, Charles, René, Georges, Victor, Eugène, Cyprien, Joseph, Jean Maurice, Etienne, Teino, Léopold, Pierre, Albert, Hector, Henri, Romain….